Antibes  International Yachting Academy 

Protéger et exploiter les atouts de la Blue-tech.

Protéger et exploiter les atouts de la Blue-tech est essentiel pour plusieurs raisons :

Innovation technologique :La Blue-tech englobe des technologies avancées comme les navires autonomes, les infrastructures offshore intelligentes, et les systèmes de suivi en temps réel. Ces innovations permettent d’améliorer l’efficacité et la sécurité des opérations maritimes.


Développement durable : Les technologies de la Blue-tech contribuent à la réduction de l’empreinte carbone du secteur maritime. Par exemple, les navires propres et les énergies marines renouvelables, comme l’éolien offshore, jouent un rôle crucial dans la transition énergétique.


Économie bleue : En exploitant les ressources marines de manière durable, la Blue-tech peut stimuler la croissance économique et créer de nouveaux emplois dans des secteurs comme l’aquaculture, la biotechnologie marine, et le tourisme côtier.


Protection de l’environnement : Les technologies de la Blue-tech permettent de mieux surveiller et protéger les écosystèmes marins. Par exemple, les systèmes de suivi et de gestion des pêches aident à prévenir la surpêche et à préserver la biodiversité.


Résilience climatique : En développant des infrastructures maritimes résilientes et en utilisant des technologies avancées pour surveiller les conditions océaniques, la Blue-tech aide les communautés côtières à s’adapter aux impacts du changement climatique.


La Blue-tech représente une opportunité unique de concilier développement économique et protection de l’environnement marin.

Les actions entreprises en faveur de la protection et de l'exploitation de la Blue Tech

Les Mouillages

Rendez-vous sur les  Forums  des Mouillages organisés par la DIRM-MED  au palais du Pharo de Marseille

 

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Protéger et exploiter la Blue-Tech 

L'économie de la bleue -tech couvre un large éventail de secteurs et nécessite l'introduction de cadres juridiques, réglementaires et institutionnels mieux intégrés. L'incohérence des politiques, le faible respect des règles et les lacunes législatives fragilisent les cadres existants. Cependant, l'économie bleue est porteuse d'une nouvelle dynamique capable de créer de nouvelles relations entre institutions opérant dans des secteurs différents.

 

La Convention des Nations Unies sur le droit de la mer (CNUDM), adoptée en 1982 et entrée en vigueur en 1994, régit toutes les activités dans les océans et les mers. Elle énonce également les droits et obligations des États pour la réalisation de ces activités, y compris en matière de navigation, de ressources biologiques et non biologiques, de protection et de préservation de l'environnement marin.

 

En France, l'économie bleue pèse 1,5% du PIB français (plus de 40 milliards de valeur ajoutée) et 525000 emplois, soit 1,8 % des emplois nationaux. La protection de l'environnement est de moins en moins perçue comme un coût à internaliser et de plus en plus comme une opportunité de développement et de croissance.

 

Enfin, une enquête mondiale a révélé que si l'intérêt pour l'économie bleue durable est élevé, l’expertise sur la thématique reste pourtant faible. Environ 75 % des personnes consultées n’ont pas évalué l’impact de leurs investissements sur les océans et 21 % d’entre elles déclarent ne pas avoir conscience de l’exposition et des risques associés aux océans dans le cadre de leurs placements.https://www.gouvernement.fr/sites/default/files/contenu/piece-jointe/2023/04/00-l-economie-bleue-en-france-2022-edito-intro-sommaire.pdf

4 Mars
2022

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